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Sélection de photos d’Eduardoizq, dont tous les liens sont ici. Fascinante couleur jusqu’à la mise en scène de la couleur. Digitale douceur. Femme irréelle et si proche. Tactile encensement des mœurs. Déjà vu jamais vu. Impression d’être dedans dehors les impressions. Difficile à décrire… C’est noir. C’est blanc, ou pas ? On prend trop naturellement ce virage. On se le regarde.

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Après un troisième billet rempli de si jolies formes, de tant de grains et de moments si intimement factices, si fictionnellement réels, on peut conclure que theDeathofYouth est une quête de la femme aux lunettes noires, rencontrée dans ce petit parc semi sous bois et qui donne sur une mégalopole brûlée. La femme aux lunettes noires qui les aurait un peu laissé tomber sur le bout de son nez en même temps que sa culotte glissait sur ses cuisses et que ses seins se révélaient nonchalamment à nous. Obsession inconsciente ou conscience surexcitée ? J’ai un faible pour les moments de déshabillage, devant un mur ou sur un fauteuil.

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Sylvain Entressangle photographie presque exclusivement des femmes plus ou moins habillées. On le sent d’ailleurs dans l’œil du photographe, le jeu sur la limite de la pudeur du modèle, sur la sienne propre, sur celle de cette notion toute floue appelée « goût » bon ou mauvais. Difficile de dire si Sylvain Entressangle produit une œuvre répartie en séries parfois très différentes les unes des autres ou s’il pense ses travaux comme des petites séries bien réfléchies et que ces séries s’inscrivent dans un projet plus grand (je penche pour cette interprétation) mais ce que l’on constate est de cet acabit: des morceaux de partitions distincts qui prennent corps ensemble sur le fil du temps même si les recherches de l’auteur peuvent aller dans des directions très variées. Cet aspect me séduit. Les types qui osent, qui s’arrêtent pas à ce que l’on attend d’eux. Qui jouent des jeux, qui imitent, qui essaient.

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Au départ, Sadie Von Paris est un modèle photo de ce petit microcosme parisien que je ne fréquente que du bout des cils, reclus et casanier que je suis, et à l’épreuve de ce temps d’égocentrisme où chacun est tellement replié sur lui-même qu’un blog promouvant autre chose que son joli petit caca à soi est pratiquement inconcevable. Au départ je ne sais pas en fait. Mais maintenant, Sadie Von Paris fait figure d’incontournable des modèles aux poses extasiantes de cet underground parisien bien réel.

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Plus de mots, rien que les yeux pour apprécier theDeathofYouth.

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Une sélection de photos de Joanne Leah, accompagnée de peu de mots. J’aurais l’impression de me répéter mais j’aime la douceur du presque, la douleur du réussi, les yeux dans le noir, sentir les photos par le bout des doigts, se sentir à la fois ailleurs et dans la pièce avec le modèle et le photographe. Sentir que ça vit dedans, dessous, derrière… sans édulcorant, sans trop d’auto, sans trop le style des partout, du in, du hype, des poutreuses de modeuses. Un air du temps hors le temps. Un peu cassé.

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Une quinzaine de photos de Bruno Bozon, qui démontre à chaque set que photographier n’a pas seulement rapport à ce faux cool qui dégouline des photos de soirées que l’on voit hélas partout et dont on dit qu’elles sont tendances alors qu’elles sont copiées collées.

C’est intéressant d’ailleurs de constater comment Bruno Bozon fait la part belle à la copie assumée, l’hommage, dans ses travaux. Comme s’il nous rappelait qu’à l’époque où certains maitres répandaient la parole que « c’est en imitant qu’on apprend et qu’on apprend à se connaître, se trouver » (en substance) ou encore que « c’est de nos erreurs à essayer d’imiter que naît notre style »… que c’est à cette époque que naissaient des styles. Alors qu’aujourd’hui le mot « copie » perd son sens et devient « plagiat » dans la représentation collective. Et le plagiat c’est mal et c’est nul… et tout le monde s’extasie devant des photos qui sont du copier-coller de scripts et effets tout prêts…

Etrange.

A cette bizarrerie nauséabonde, Bruno Bozon ne cède pas.

>>> son flickr

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La rencontre de la poésie et de la photographie, Nynewe

>>> bloggée ici même

<<< et là aussi

J’aurais rêvé que la façon dont les photos de Nynewe ont été séquencées par mon petit esprit étroit et brumeux en fasse le récit d’une histoire qu’aurait pu rêver Le Petit Chaperon Rouge dans son séjour à l’antre du Loup, antre gastrique. Le genre de vision pas claire entre le rêve et le cauchemar, la pensée et le réel. De ceux que l’on pond quand on dort trop bien ou trop mal. Qui nous donnent au réveil la réponse aux questions qu’on ne s’est encore pas posées.

En tout cas, je peux assurer que j’ai vu. J’ai vu Audrey danser dans le bar au son du jukebox, j’ai vu les fantômes, les hommes à tête de cheval. J’ai vu, j’ai pris, j’ai peu donné. J’ai retourné. J’y suis retourné. Je ne sais pas si j’ai aimé mais je n’ai pas eu peur. Puissent nos inconscients s’orner d’un pourpre sanguin incompatible aux têtes de gondole.

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Je vous présente une sélection d’images d’un photographe parisien que je suis depuis plusieurs années: Laurent Dufour.

Le reste

>>> ICI

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Matt Fry, pour moi, est une source d’inspiration. Je n’ai que peu de choses à en dire. J’aime la force des contrastes, j’aime son « vrai » noir et blanc. J’aime que les rendus soient issus de choix techniques ou technologiques faits à la prise de vue et pas du post traitement. Mais vu d’ici, à mon sens, la plus belle des qualités que l’on peut voir dans les photos de Matt Fry est son art de la composition. Le photographe en effet, semble capable d’improviser sur place en intégrant à ces images des parties du décors de façon très originale, très décalée. On trouve parfois une fille allongée sur un lit, vue du haut d’une étagère où des flacons et crèmes au premier plan font plonger notre regard sans gêner, et sans pour autant être de trop évidentes pistes de lecture.

J’aime les jeux de lecture que les photos de Matt Fry propose à nos yeux admiratifs.

Et quel plaisir de retrouver des modèles comme Kara Neko (ou ICI, et même ) ou Sugar Kane !

Le reste des photos de Matt Fry

>>> flickr

<<< site

>>> tumblr

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